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Escale au Suriname, rencontre avec le seul recycleur du pays
Le seul centre de recyclage au Suriname
Glenn recycle principalement les bouteilles PET, environ 10% de ce qui est produit dans le pays, un effort remarquable compte tenu de l’absence de structure de recyclage à grande échelle. Ces déchets sont compactés en balles et exportés en Europe.
![recycling-center-surinam](https://plasticodyssey.org/wp-content/uploads/2023/07/recycling-center-surinam.jpg)
![](https://plasticodyssey.org/wp-content/uploads/2023/07/recycling-plastic-plant-surinam.jpg)
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Il transforme également les films plastiques en sacs poubelles à l’aide de plusieurs extrudeuses souffleuses et envisage de recycler le carton en assiettes.
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![](https://plasticodyssey.org/wp-content/uploads/2023/07/assiette-plastique-recycle-suriname.jpg)
Une initiative audacieuse pour collecter les déchets au Suriname
Pour faciliter la collecte des déchets recyclables, Glenn a installé 140 poubelles de tri dans tout le pays. C’est une initiative audacieuse dans un pays où la population est encore peu sensibilisée à la gestion des déchets. Glenn rencontre de nombreux défis, comme le dépôt inapproprié de déchets non recyclables, y compris des animaux morts, dans les poubelles de tri.
![plastic-film-recycling-surinam](https://plasticodyssey.org/wp-content/uploads/2023/06/plastic-film-recycling-surinam.jpg)
Le « littering », véritable fléau pour les écosystèmes et la sécurité
Cette escale a également mis en lumière le problème du « littering », ou abandon de déchets dans la nature, qui est très répandu au Suriname. Dans la capitale, la situation est particulièrement préoccupante : le plastique obstrue les égouts, transformant les rues en rivières lorsqu’il pleut.